Grace Nehmad

domingo, 7 de octubre de 2012

Processus pour se donner aux autres en liberté et les aider

Hier j'ai travaillé un texte ancien sur la première année de ma séparation et je suis en train de le transformer. Je me rends compte que c'est tout à fait possible de se dire d'une autre façon. J'ai décidé de me regarder du point de vu de ma libération et jamais comme victime. Je mélange mes rêves avec mes poèmes et avec mon quotidien. Le résultat est trés beau. C'est magnifique de m'écrire dès celle que je suis venue être, femme mûre qui porte son œuvre au monde. De toute façon je n'avais pas écris sur mon exmari, seulement sur mes sensations de cette première rencontre avec une indépendance plus décidée. C'est à peu près comme mon voyage seule en Israel à dixhuit ans ou celui que j'ai fait à Florence, Italie pour étudier dans une école de peinture à vingtdeux ans. Le monde s'ouvre à mes pieds et avec plus de force maintenant car j'ai déjà signer le divorce et arrangé les termes de la séparation. Mon fils est très bien en ce moment et alors, je peux travailler en liberté pour la liberté des autres. Aujourd'hui je suis venue écouter mon concert de musique classique et je suis très heureuse car je veux le faire pour arriver plus loin et toucher le fond de mon âme. Toutes mes démarches sont prises en ce sens pour construire une œuvre libre de masques comme celle que je souhaite devenir. Je ne veux plus gaspiller mon temps dans des explications que les autres n'arriveront point à saisir. Je veux seulement être, peindre et écrire et partager mes expériences sur terre comme je les vois sans ne jamais être une victime de ma realité. Je veux plutôt être celle qui se construit magiquement à partir de ses erreurs, de ses circonstances. C'est comme cela que j'ai appris á peindre et c'est comme ça que j'enseigne á peindre á mes élèves. C'est une façon créative de peindre et de vivre. Pour les lettres c'est peut-être la même chose car on peut raconter des tas de choses sur le même événement et il faut arriver à choisir de se dire en liberté. Cela n'arrive qu'avec un travail décidé en écriture, mais aussi dans les émotions et dans l'âme. Si les masques persistent, même se l'écriture est belle, ça ne marche pas. Je travaille tout ça, le chemin est toujours long mais je sais que j'ai déjà avancé une partie importante de mes luttes. Je suis en paix parce que mon fils est libre maintenant et il ne comprendra peut-être jamais la différence mais je la sais et cela est suffisant. La paix en moi, je me donnerai avec plus de forces au reste de l'hummanité.

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