Grace Nehmad

viernes, 25 de enero de 2013

Poésie et peinture, ma recherche

Aujourd'hui le jour commence lentement comme certains vendredis. Même si j'ai trop de travail à faire, je n'arrive point à soulager certaines angoisses et le poids de peinture et poésie dans mon quotidien. Parfois j'aimerais avoir beaucoup plus d'aspects terrestres résolus pour pouvoir faire mon travail en paix et concentration. Maintenant je pense à mon exposition et présentation de mon livre à l' Alliance française de polanco en mars. Car j'ai trop de travail à faire pour la préparer et pour accomplir le reste de mes tâches quotidiennes. Au même temps je réfléchis sur le texte de Baudelaire au sujet de l'art philosofique.  Il est contre, bon pas tout à fait contre, mais il défend plutôt l'art pur et il dis que chaque art doit se suffire à soi-même. Dans mon cas, c'est justement ce qui arrive. Peinture et poésie sont des sœurs qui partagent la même mère. Or elles sont indépendantes et simplement, comme elles sont sœurs, elles se connaissent très bien et savent s'aider et s'accompagner. Baudelaire a tout à fait raison, elles doivent être tout à fait indépendantes et simplement marcher ensemble cette vie terrestre.  C'est ce que je désire par la suite, d'avoir seulement des compagnons sur terre. Comme des âmes sœurs qui veulent bavarder un peu, partager la vie, s'aider un peu, mais jamais avec une dépendance éxagérée. J'espère ainsi que par la suite je n'aurai plus peur qu'on décide de les séparer. Je ne dois plus souffrir, même si je les sais sœurs, elles doivent faire chacune leurs propres chemins sur terre. Je les laisserai libres car je sais que chacune se suffit à soi-même, comme moi. J'ai tout ce qu'il me faut pour vivre mon chemin sur terre et je le ferai ainsi, libre de dépendances. Mais pourquoi pas, avec des âmes sœurs ici et là? Mon fils, mes amis, mes parents, mon âme sœur des lettres et toutes les belles âmes que la vie me présentera. Chacune avec sa place parfaite et unique dans mon être libre de dépendances.

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