Grace Nehmad

domingo, 30 de junio de 2013

Pour bavarder l'éternité qui nous manque

Donc tu me quittes, mais je sais
que tu seras toujours avec moi,
dans mon cœur et dans mes lettres,
surtout dans ma poésie.
Aussi dans ma peinture et dans
celle que je suis.
Je ne connaissais pas la façon
dont tu m'a montré
le chemin des lettres
et dont je t'ai aimé.
Tout a été très beau.
Je peux partager ma poésie
dans ce monde virtuel qui
t'appartient et arriver à mes lecteurs
et aux spectateurs de mes peintures,
mais je ne suis pas capable
de corriger mes poèmes
avec toi par mail, c'est
trop froid,  je n'arrive pas.
Je t'aime encore comme
un être charnel.
Peut-être que dans une
autre dimension nous
nous retrouverons un jour
pour bavarder l'éternité qui
nous manque.

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