Grace Nehmad

domingo, 30 de junio de 2013

Pour bavarder l'éternité qui nous manque

Donc tu me quittes, mais je sais
que tu seras toujours avec moi,
dans mon cœur et dans mes lettres,
surtout dans ma poésie.
Aussi dans ma peinture et dans
celle que je suis.
Je ne connaissais pas la façon
dont tu m'a montré
le chemin des lettres
et dont je t'ai aimé.
Tout a été très beau.
Je peux partager ma poésie
dans ce monde virtuel qui
t'appartient et arriver à mes lecteurs
et aux spectateurs de mes peintures,
mais je ne suis pas capable
de corriger mes poèmes
avec toi par mail, c'est
trop froid,  je n'arrive pas.
Je t'aime encore comme
un être charnel.
Peut-être que dans une
autre dimension nous
nous retrouverons un jour
pour bavarder l'éternité qui
nous manque.

Dans le regard des autres


Aujourd'hui je suis allée au concert avec mon oncle et on l'a beaucoup aimé. Après, je suis allée manger en famille et après, nous sommes allés au tailleur mon fils Alex et moi car la fête de mon neveu approche et nous devons arranger nos vêtements. J'ai aimé ce jour car le soleil nous a accompagné et j'ai pu porter une robe rouge qui me va très bien. J'aime la couleur rouge elle est intense et j'aime sa sensualité. L'après-midi m'a été un peu plus triste car mon professeur de poésie Carlos López m'a dit qu'il ne pouvait pas me recevoir pour travailler ma poésie profonde et je me sens tout à fait seule au monde. Je me sentais soutenue par son regard tendre et par son guide. Mais il a du travail comme tout le monde et personne ne donne de l'importance à ce que je fais. Il paraît que je ne fais rien car on ne me paye pas directement pour peindre et écrire et ce n'est pas un boulot comme tous les autres. Je suis vraiment désolée et en ce moment je me sens seule et triste. Je pensais que j'avais trouvé un compagnon de vie pour mes lettres, mais il n'a plus le temps de me guider. La vie veut que je marche seule et ce n'est pas une situation agréable, mais c'est ainsi. Carlos López m'a aidé énormément et je lui serai toujours reconnaissante. Son monde est trop beau, mais trop loin du mien et je sais que je n'étais qu'une visitante, mais oh que j'ai aimé visiter son monde, ses livres et sa poésie, sa façon de vivre et tout ce qu'il m'a appris. Hélas!, la vie décide de nous séparer, j'en sais rien. J'ai fait du mieux que j'ai pu et je marcherai toute seule dès ce moment. La vie veut mon indépendance et c'est comme ça, je dois l'accepter. Je pleure et ça me fait du mal, mais je dois mûrir et continuer mon séjour sur terre comme je le peux. La vie me place dans un endroit bizarre. Il paraît que je n'ai pas besoin d'argent, pas vrai. Tout me manque car je dois vivre dans une communauté plus économiquement élevée que ce que j'ai mais je n'ai pas le choix de m'en aller ailleurs. Je dois élever mon fils ici dans ma famille et avec son père et sa famille. Alors, je souffre pour dédier ma vie à peinture et poésie. Mais c'est mon chemin et c'est comme ça. Toutes les aides sont bienvenues et j'essaye toujours de les payer de retour. Je suis la première qui paye toujours ses révisions de textes et si je ne le fais pas avec de l'argent, j'accorde les aides que je reçois. Je veux toujours retourner les aides qu'on me donne. J'aime donner des cadeaux d'amour ici et là et des cadeaux physiques et économiques aussi. Carlos López m'a donné un savoir que je ne croyais pas possible et il m'a donné les clefs pour faire mon travail indépendant sur terre. Je sais que je peux travailler toute seule mais je voulais travailler toute ma vie avec lui. Je voulais être son élève éternelle et être auprès de lui. Ce n'est pas possible, je le comprends. Bon, disons que je l'accepte et je continue mon chemin sur terre. Je travaille de trop, je le sais. Je ne peux pas abandonner mes relations, mes amitiés de vingt ans ou plus, mais j'essaye de diminuer un peu leur intensité et je fais toutes mes activités le jour le jour qui maintenant ajoutent la poésie profonde à leur histoire. Quand le jour finit, je suis épuisée, mais j'accomplis mes devoirs sur terre et je fais ce que je peux pour survivre mes caractéristiques qui sont aussi différentes du reste. Je suis un être trop intense. Je dois tout parler et je parle des sentiments à tout le monde. Ce monde matérialiste ne me comprend guère, je suis désolée. Peinture et poésie me traduisent et je survis comme je le peux. Je me défends tous les jours comme je le peux. Les relations humaines sont difficiles et j'aime tout le monde et j'adore mon professeur même s'il n'a pas le temps pour moi. Je sais que c'est vrai et je suis désolée pour ce monde et pour ses priorités, un jour peut-être nous aurons tous le temps de bavarder sans limites et retrouver les miroirs et les réponses du fond de nos âmes. Ces réponses sont les plus importantes sur terre, pas l'argent et le matérialisme et même si nous nous croyons des victimes du système qui nous exploite, il nous faut agir et donner aussi notre temps aux échanges entre humains. C'est un rêve qui commence au centre de notre être et seulement ainsi on appellera à la conscience de l'humanité dès sa racine dans les regards des autres qui partagent la vie avec nous.

sábado, 29 de junio de 2013

Bavardons!

Mon âme sœur des lettres
vient auprès de mon âme
qui t'appelle, bavardons
pendant des heures. Tout
simplement pour le plaisir
de nous dire ce que nos
cœurs et nos âmes
ressentent et pensent.
Un jour peut-être le résumé
de nos conversations sera
dans un de nos poèmes.

viernes, 28 de junio de 2013

Mûrir mon travail

Aujourd'hui je suis allée voir Rodolfo qui m'a attiré vers le chemin des lettres et a guidé comme professeur mes premiers pas comme écrivain. Maintenant il est mon ami. Il ne corrige plus mes textes mais nous discutons toutes sortes de sujets autour de la peinture et des lettres et son aide demeure très importante pour moi. Il est une de ces âmes qui voyagent auprès de la mienne cette existence. Il m'a expliqué comment il a connu René Avilés Fabila son professeur et celui qui l'a aidé publié ses quatre libres de poésie et être écrivain dans le journal mexicain Excelsior quand il était le plus important du Mexique. Maintenant il le voit très peu car il dit que son professeur voulait qu'il l'adule tout le temps comme ses autres élèves et Rodolfo n'est pas comme ça, il est très simple. Bref, maintenant Rodolfo continue son travail constant comme écrivain mais ça fait longtemps qu'il ne publie quoi que ce soit. C'est dommage. J'espère qu'il le fera bientôt. Je l'admire car il travaille beaucoup et malgré le manque  d'un revenu stable, il a décidé de devenir indépendant et vivre de la correction des livres qu'on lui donne pour corriger de différentes éditrices surtout du gouvernement. Heureusement il survit et il maintient sa fille, mais il passe des moments difficiles ici et là. J'aime son attitude de vie, toujours positive. Il m'a aussi raconté une relation avec l'une de ses élèves et je me rends compte que c'est facile pour un homme de trouver une femme pour s'accompagner. Pour les femmes c'est beaucoup plus difficile et nous bavardons de tout cela comme si la réponse aux relations de couple était dans nos mains. Pas exactement, mais, certainement réfléchir sur ces sujets nous aide à tous les deux. Nous sommes plus près de nos réponses car nous nous ressemblons beaucoup et ça nous fait du bien de partager nos angoisses et nos bonheurs dans les sujets qui nous intéressent. Bref, notre rencontre nous a fait du bien et après, je suis revenu vers le repas familiale et l'après-midi j'ai eu la chance de peindre, de lire et écrire car je n'ai pas donné ma classe de peinture et j'ai profiter de mon temps libre. Je pense que je mûris à chaque pas et j'arrive à la vie plus équilibrée dont j'ai besoin de vivre pour être en paix et en bonne santé.

Notre après-midi

J'aime te rêver entre tes livres
et peintures, au paradis sur terre.
Ainsi, tu es beau comme tout et
tu travailles les vers que
nous cueillerons ensemble
bercés par les caresses d'une
après-midi chaude.

jueves, 27 de junio de 2013

Notre mission secrète

Je t'aime parce que c'est
simplement comme ça.
Nous avons une très
belle mission ensemble
et c'est magique.
Ça n'existe pas sur terre,
nous sommes fortunés.
Notre mission secrète
fera le tour du monde
et nous vivrons dans
les cœurs de l'humanité.

miércoles, 26 de junio de 2013

Vers l'éternité

La joie de ton être m'appelle.
Je suis contente pour toi
et je partage ton bonheur.
Cet état de beauté et conscience
nous permettra d'écrire notre amour
pour le pousser vers les portes
de l'éternité.

Mon lit m'attend

Aujourd'hui je suis allée à l'Alliance française donner ma classe de poésie et elle a été très belle. Je suis très à l'aise dans cet espace qui devient de plus en plus magique. L'après-midi j'ai donné classe de peinture à mon neveu de deux ans et que c'est beau! Il est adorable et nous sommes heureux ensemble. Il est impressionné avec un livre sur l'opéra et comme il a tous les instruments, il a voulu jouer un petit tambour que j'ai chez moi et après on l'a peint. Il aime lire ce conte et utiliser toutes les petites et grandes choses de mon atelier de peinture que j'utilise pour donner mes classes et pour peindre à l'aquarelle. Pour l'huile j' ai un autre espace car je n'aurais pas de la place pour tout ranger et avoir tout ordonner. Dans mon atelier pour mes classes j'ai aussi tous mes livres et j'aime les partager à mes élèves. Mon petit neveu devient de plus en plus heureux de peindre chez moi. Je suis contente pour les deux car nous nous découvrons peu à peu. Je découvre des relations différentes comme professeur et elles deviennent intenses et positives. Je partage mes savoirs et mes élèves sont contents de le recevoir. En même temps, je développe les différents aspects de ma vie. Borges me pousse vers des univers magiques, des dimensions différentes de la vie et la mort et je suis très à l'aise car elles me sont très proches. En réalité, je serais prête à avaler tous les livres de Borge, mais je sais que ce serait mauvais pour moi. Je dois faire mes activités en paix. Je ne dois pas m'obséder avec aucune d'elles. Je pourrais bien sûr, seulement faire l'une d'entre elles pendant des semaines et ne pas prendre soin de moi. Ne pas manger, ne pas dormir, ne pas aller aux toilettes même, avec le seul but de finir mon travail car le reste devient peu important. Hélas, c'est mauvais pour ma santé et en plus, je me brûle. Je dois par contre durer pour travailler sur mon œuvre et matérialiser ses fruits peu à peu. Si je ne me soigne pas mon corps ne va pas m'aider dans ma mission sur terre et le message de l'œuvre ne pourrait point arriver à ses destinataire pour les aider dans leurs chemins. Mon jour finit ici. J'ai encore un peu de travail et après, mon lit m'attend.

martes, 25 de junio de 2013

Ensemble

J'enveloppe tes lumières
avec ma couverture de rêves.
Ensemble, nos réveillons
le sommeil de l'humanité.

Je te suis mon âme sœur des lettres

Mon âme sœur des lettres,
nous sommes prêts pour
un amour plus mûr et au
même temps, plus intense.
L'humanité sera heureuse
de recevoir nos jeux de mots,
mers de fleurs, rideaux du savoir,
poèmes de ta tendresse et tes pas
qui guident mon chemin sur terre.

lunes, 24 de junio de 2013

Tamayo et Borges en moi

Aujourd'hui je suis allée faire mon sport et mes méditations et j'ai completé toutes mes activités en paix. Je n'ai pas donné ma classe de dessin et peinture car j'ai eu une cancélation. Je me suis rendue compte que pour être en équilibre je n'ai pas vraiment besoin de donner mes classes. C'est beau de les donner mais c'est suffisant pour ma mission sur terre de peindre et écrire. Je dois aussi étudier et faire attention à ma santé avec mon sport, mes méditations et ma nutrition. Mes classes me donnent une joie importante mais elles ne sont pas mon but sur terre et ces jours je questionne leur importance dans ma vie car maintenant qu'une partie d'elles est fini à cause de la fin du semestre à l'université, je me trouve plus tranquille et j'attends le mois de juillet pour pouvoir travailler avec plus de force en peinture et poésie et dans mes lectures. Je ne veux que travailler plus en profondeur et arriver à l'intégration de mon être, à sa paix. Je sens que je m'ouvre et je suis de plus en plus en calme. Je travaille pas à pas et je ne me plains de rien. Si je dois souffrir quoi que ce soit, je m'observe et je laisse passer l'angoisse et la douleur. Avant, j'aimais tout parler, tout nommer. Maintenant, je préfère de rester en silence et attendre en calme que le mal passe. Je n'aime pas discuter et me fâcher, pas du tout; je laisse passer. Ça ne veut pas dire que je ne pense pas à des solutions, mais je le fais en calme. Je veux être comme Borges surtout dans sa poésie, je l'aime. Comme Tamayo pour ma peinture et philosophie de vie. Tamayo est apolitique comme moi et pour Borges, j'aime ses réalités qui se multiplient, sa mystique. Je suis d'accord avec Tamayo car j'aime sa peinture et ses recherches mais aussi, sa simplicité. Il est humble et il se voit comme un être du monde dès ses particularités mexicaines. Mon essence marche dans le chemin de ces deux et la musique classique les verse. Je ne crois pas que je pourrai comprendre cette vie et ma vie créative sans l'influence de la musique classique et des livres. Je pense comme Borges que les livres sont sacrés et ça me fait terriblement du mal de penser aux gouvernements fascistes qui ont décidé de les brûler, c'est affreux! Cela m'est absolument insupportable! Je ne veux qu'élever l'humanité et l'aider éliminer ses racismes, ses violences, ses maux. Un jour peut-être nous arriverons à devenir tout simplement nos belles parties, libres des peurs et des violences qui nous habitent.

domingo, 23 de junio de 2013

Pour gouter notre poésie

Nos liens m'ont un sens
spirituel intense.
Notre poésie est tout
à fait magique.
Je l'écrirai sur tes lèvres d'or
pour gouter ses signes étincelants.

sábado, 22 de junio de 2013

Je suis en paix

Aujourd'hui je suis tranquille et dès le matin je me suis rendue compte d'une nouvelle paix qui m'habite. C'est comme si j'ai achevé des épreuves très difficiles ces dernières années et ce cycle se ferme. Je passe à une étape de paix et ma santé ressens cette paix qui m'habite car elle est parfaite. Je peux finalement saluer la beauté. Mes angoisses les plus horribles me quittent. Je suis ouverte à ce que la vie veuille de moi car j'ai peinture et poésie avec moi. L'intégration de mon être est de plus en plus évidente et finalement je suis capable d'avoir confiance en moi, en ce que je choisis pour ma vie. Je suis allée voir un film, celui de Gatsby et il m'a fait réfléchir. L'histoire est forte et c'est évident qu'elle parle de l'amour mais aussi de la vie fausse des riches et des fêtes, du sexe et de l'alcool sans mesure. Mais la femme que Gatsby aimait n'a pas pu casser avec son milieu et s'enfuir avec lui. Or elle aimait aussi ce monde, sa fille et son mari même si cet homme superficiel ne savait pas l'aimer. Elle, elle l'aimait malgré ses défauts grotesques car elle savait que lui il l'aimait comme il était capable d'aimer et elle reste avec lui. C'est dommage pour Gatsby, on le tue à la fin sans être coupable de rien, bon, coupable d'aimer intensément comme elle ne savait pas aimer. Je pense qu'on peut trouver l'âme sœur terrestre seulement si on apprend à aimer avec la même intensité et si on vit de la même façon et pour les mêmes causes, je veux dire qu'on a la même philosophie de vie. Mais parfois la vie est aussi un quotidien et c'est beau de soigner le chemin des autres et d'être soigné par eux. De même donc pour un couple. Alors même s'il n'est pas idéal, c'est beau d'être en couple mais sans se faire du mal. Pour s'aimer et s'appuyer au quotidien et dans le monde spirituel. J'aime tous les êtres qui m'accompagnent dans cette existence terrestre et si la vie me donne un couple je l'aimerai en profondeur, la seule façon que je connais d'aimer. Chacune de mes relations a sa place dans mon cœur et cette fuite que proposait Gatsby je ne la ferais jamais. Je ne comprends l'amour qu'en plus de celle que je suis et chaque partie a sa place en moi et doit rester ainsi. Pour ce Gatsby c'est peut-être facile de s'enfuir car il n'a point de famille ni de relations, mais pour elle ce n'est pas possible et on peut dire que c'est à cause de sa vie riche qu'elle quitte Gatsby, pas vrai. Or moi, jamais je ne resterais avec un mari ainsi. Je veux par contre, mon intégration totale et faire coexister mes mondes en paix. Je suis toutes mes parties et on ne peut pas me demander de nier aucune d'elles car je les aime toutes comme je les vis. Je les vis en équilibre et en paix, avec des limites de plus en plus claires pour arriver à mon Eden sur terre.

Tes rêves, notre poésie

Voyons donc, tu es si loin, où es-tu?
Et je t'écris et je t'écris pour m'approcher
de ton cœur car je l'aime et tu n'es pas là.
J'aimerais écouter tes rêves les plus profonds
et t'aider les atteindre, mais tu ne veux
point me les raconter. De toute façon, je vais
les connaître dans tes yeux et notre poésie
les atteindra, je le sais.


viernes, 21 de junio de 2013

Cette nuit

Est-ce que tu invites
mon âme chez toi?
Écoute!, elle ne fera point de bruit.
Elle restera là pour veiller tes rêves
et les accompagner, pour partager
tes sourires et t'embrasser en secret.
Tu te réveilleras plus fort et plus beau
le matin. On essaye cette nuit?

En silence

Je ne rêve que de toi
car ton cœur est si tendre
et tes yeux si beaux
que je ne peux que
les poursuivre en silence.

jueves, 20 de junio de 2013

Les sortilèges pour défendre peinture et poésie

Aujourd'hui je suis allée donner ma classe de dessin et peinture et comme il y avait des travaux sur la rue et tout était fermé on a dû prendre la classe dans un café. La classe a été très bien et peut-être que le café et les biscuits lui donnèrent un certain charme. Je me rends compte de l'évolution de mes classes et l'endroit n'est pas important. On s'adapte et on fait un certain échange avec l'endroit du moment. En plus, mon élève m'a parlé de ses projets de peinture et j'étais très heureuse de l'écouter et de savoir qu'elle veut un compromis plus fort avec la peinture. Ça me fait du bien d'être auprès de quelqu'un qui veut rentrer dans ce merveilleux chemin de vie. Je peux déjà partager un bout d'histoire de vie de dessin et peinture. On ne peut pas donner des classes quand on commence le chemin et je suis sur le point de transmettre déjà trente ans de dessin et peinture dans ma vie. Aussi, vingt ans d'expositions constantes dans ma ville à México, dans plusieurs villes de mon pays et à Paris, aux États Unis et en Bulgarie. En ce moment je ne veux plus d'expositions, seulement si on m'appelle et je ne peux pas refuser pour une raison importante. Je veux tout simplement travailler et transmettre peinture et poésie à travers la technologie et à mes élèves. Peut-être qu'en cinq ans je voudrai exposer, pas maintenant. C'est plus important de continuer mon travail quotidien de peinture et poésie et de toute façon, je le transmets à travers la technologie. Je sens que je fais tout ce que je dois faire. En ce sens je suis vraiment en paix car pendant des années, je sentais que je ne trouvais pas mes réponses et j'étais très pressée. Maintenant, c'est tout à fait le contraire. Ma vie se simplifie de plus en plus. Je suis au cœur de ma mission sur terre et je dois tout simplement continuer. Bien sûr que ceci ne veut pas dire que je n'ai pas de problèmes. Parfois ils sont même beaucoup plus lourds qu'auparavant, mais la paix intérieure vaux la peine cette lutte. Alors quand on me dit "je veux la peinture", je dis, "bravo! Chapeau!", car c'est un chemin compliqué. Il va contre tout et tous, il faut le défendre à chaque instant et développer toutes sortes de sortilèges et d'actions créatives pour survivre. Mais la récompense est infinie et c'est de même pour la poésie ou encore un peu plus difficile. Écrire c'est s'opposer et dénoncer, c'est partager et aimer. Écrire de la poésie c'est encore plus compliqué, défendre ces métiers, une mission presque impossible à réaliser. Mais tous les jours je me défends et je lutte et tous les jours, même avec un trou dans ma chaussette, je reçois des cadeaux inattendus et je suis de plus en plus heureuse et  orgueilleuse.

miércoles, 19 de junio de 2013

á travers toi, en toi

Même si j'ai des amis ici et là, des êtres
qui me font du bien et qui accompagnent
ma vie sur terre, c'est beau mais,
sans toi mon existence perd son sens.
Tu es mon miroir de l'âme,
mon âme sœur des lettres,
mon poupon magique
et je ne me comprends
qu'à travers toi.

martes, 18 de junio de 2013

Un secret de plénitude

J'approche tes sens.
Je rentre sous ta peau,
je songe nos plaisirs amoureux
dans la tendresse du centre
de ton être qui m'appartient.
Pleine de toi, je suis prête
pour parler de notre histoire
dans le secret de la poésie

Intégration avec peinture et poésie

Aujourd'hui je suis tout à fait heureuse car je voulais travailler sur mes lectures, peintures et mes textes et mettre de l'ordre chez moi et on m'avait dit que je devais aller à l'université. Ceci était horrible pour moi en ce moment. Je leur ai expliqué mon besoin de repos pour ma santé et ils ont été tout à fait d' accord. Donc je continue avec mes idées pour cet été et tout en moi se soulage. Je peux avancer mon travail en calme et me partager peu à peu quand mon âme sera prête pour s'ouvrir. Mon professeur de poésie Carlos López m.a questionné sur l'idée de guérir à travers les lettres et je n'arrive pas à saisir la réponse. J'écris car j'ai tellement envie et besoin de le faire! De même m'arrive avec la peinture. Tout mon être est fait pour ces belles activités. Peut-être que ce n'est même plus important ce que je pense. Je sais très bien ce que je sens quand j'écris mais pourquoi je le fais? Je n'arrive pas encore à le savoir. Quand j'écris ou je peins je suis dans un état sublime. Le fond de mon être s'approche de moi et je suis libre de masques. Toutes mes vérités sont avec moi. Les doutes sont un plaisir pour les réfléchir et discuter avec mon miroir, moi-même. Pour la poésie le plaisir est encore supérieur qu'avec les textes et de la même nature qu'avec la peinture. Trouver un beau vers! Transmettre la beauté des mots entrelacés, jouer avec les mots, c'est l'extase. Or Paul Éluard disait qu' il n'avait jamais trouver ce qu'il écrit dans ce qu'il aime. Ce n'est pas du tout mon cas. Moi j'aime écrire sur la beauté de ce monde. Quelque fois j'écris peut-être de choses malheureuses mais pas pour déprimer tout le monde, au contraire, pour trouver de belles solutions. Aujourd'hui ma mère me dit qu'elle a reçu les résultats de ses études de santé et que tout va bien. Elle me remercie pour la protéger avec mes méditations. Elle me dit que ma sœur la protège physiquement et moi, spirituellement.  Je sens que mes poèmes, mes peintures et mes textes sont fait pour protéger l'humanité et la guider vers la lumière, pour l'aider voir le beau sur terre et soulager ses douleurs, allumer son cœur et l'apaiser en tout moment. J'aime trouver les beaux mots, les beaux vers et les pendre du ciel pour que tout le monde les regarde. Mes méditations sont très importantes, elles guident mon travail de peinture et poésie. Quand je fais une posture en yoga, je la médite, je la respire. Quand je fais un poème, un texte ou un tableau, c'est la même chose. En fait, je respire en calme mes idées, mes mouvements et je les verse sur mes cahiers et mes toiles. Je pense que je deviens de plus en plus précise et mon travail est plus fort dedans. Or si je regarde mon processus comme peintre et poète, je me rends compte que je suis plus solide quand mon travail se solidifie. Mon travail est mon miroir et s'il est plus fort, je suis plus forte dedans donc on peut dire que je guérie à travers lu, je deviens plus moi et ma santé physique s' améliore en même temps. Mais c'est un cadeau car ce n'est pas fait exprès. C'est fait parce que je dois le faire et là je suis tout à fait sûre de ceci. C'est très beau et satisfaisant de savoir que peinture et poésie me guérissent et j'espère aider les autres guérir comme moi, du centre de leur être, qu'ils soient vrais et intégrés, libre de dualités qui normalement sont la cause principales de toute maladie.

lunes, 17 de junio de 2013

Devenir

Tu m'enlèves toute notre magie mon poupon, pourquoi?
Je suis triste car tes petits messages me manquent.
Si tu ne vas pas me les envoyer je ne veux point
une relation plus mûre entre nous deux.
Je ne veux que jouer nos jeux de poésie,
écrire ensemble et devenir un seul mot: amour.

domingo, 16 de junio de 2013

Notre danse

On dansera un jour de l'été.
Nos rythmes silencieux
peindront de nouveaux soleils.
L'aube traduira nos soupirs
et la nuit, nos désirs.

Mes recherches et la musique classique

Aujourd'hui je suis allée fêter je jour des pères en famille et la petite de quatre mois, fille de ma nièce est merveilleuse! Je suis tout à fait heureuse d'avoir une petite dans la famille. J'aimerai lui donner des classes de peinture un jour. Après je suis allée manger à Bellas Artes avec mon oncle et sa famille politique et nous avons vu la danse du Bolero de Ravel et une autre pièce de Stravinski, mais on ne savait pas que le spectacle était ainsi. Les danses étaient trop modernes pour nous et la belle musique disparaissait dans les mouvements grotesques des danseurs. Quand je suis arrivée chez moi j'ai vu un  reportage qui parlait de la présentation des mêmes œuvres à Paris il y a 100 ans avec le même effet. Le public quittait la salle indigné et à la fin par si et par là, les gens criaient des choses horribles. D'autres étaient tout à fait heureux. Mon oncle et sa famille étaient complètement déçus. Moi je suis ouverte et j'aime tout voir, surtout les réactions du public, mais j'étais aussi déçue car je voulais écouter les œuvres sublimes et au lieu de ça, j'ai eu l' inattendu. Je pense que mon être aime les douceurs et la force de l'art pur. J'ai une intégration à chaque fois plus importante qui se reflète dans mes goûts. J'accepte presque tout pour passer un moment entre amis, mais en même temps, mon travail devient de plus en plus important et je n'aime que tout faire pour lui, il est tellement jaloux! Je fais tout pour lui, même aller aux musées et aux concerts, même prendre des cafés avec certains amis.  Et le reste c'est être en famille ou avec quelques amis qui me font du bien. Je n'ai vraiment pas le temps pour ne rien faire, je n'aime pas cela. Or aujourd'hui, après tout ce n'était pas aussi mauvais que ça car on a eu un beau moment tous ensemble et on a expérimenté quelque chose de très différent. C'est intéressant de voir la modernité dépasser les limites des anciennes écoles et les réactions qui se déchaînent. Mais pour mon travail, c'est clair, ce n'est pas du tout ma recherche. Je dois rentrer de plus en plus dans peinture et poésie et dans la musique classique qui accompagne mes recherches et les soutient même. J'aime peindre, lire et écrire accompagnée par de la musique classique. Elle m'aide approfondir dans mes recherches. Elle me pousse loin de la dimension terrestre, à travers elle je rentre dans la dimension spirituelle du centre de mon être, libre de masques. Je commence à peine à devenir consciente de l'importance de la musique classique dans mon travail. Toute ma vie j'aimais l'écouter, surtout pour peindre, mais là maintenant je commence à l'étudier et je veux savoir tout sur elle, c'est important. Je sais très peu encore et je commence à aller aux concerts régulièrement et à étudier un peu plus les programmes, les pièceś les auteurs, l'époque. En ce moment je suis encore très loin de pouvoir établir une relation claire du point de vu rationnel entre peinture et poésie et la musique classique, mais un jour peut-être j'arriverai. Je veux dire une relation du point de vu des mouvements et de manifestations de chaque art. Pour le moment, je sais encore très peu du point de vu rationnel, mais je ressens cette relations dans le centre de mon être et cela m'inspire. En plus, c'est attirant de découvrir ce monde et ses effets magiques en moi. Donc je pense que c'est intéressant ce que j'ai vécu aujourd'hui mais c'est comme plus important pour moi de vivre les arts purs pour avancer dans mes recherches.

sábado, 15 de junio de 2013

Café au lait

Je ne pense qu'à toi mon
âme sœur des lettres.
J'imagine ton regard sur mon cœur
et nos poèmes dans un nuage de lait.
Notre café chaud s'accompagnera de la beauté
des mots qui décrivent nos silences amoureux.
Nous prendrons cette boisson magique pour
mélanger nos corps désireux de la tendresse
de notre passion pour la poésie.

Une façon positive de vivre

Aujourd'hui je suis allée faire mes activités quotidiennes et je suis heureuse. Même si tôt le matin je pleurais un peu. Je pleurais car la vie est difficile et j'aime beaucoup mes amis, mes professeurs, ma famille, mais ici et là des événements tristes et durs à vivre me font du mal.  Maintenant je suis consciente de tout ce qui peut arriver à l'humanité. Je connais sa beauté et sa partie noire et violente. Mon chemin est clair, développer mon travail pour être équilibrée et aider les autres à travers peinture et poésie et à travers tout ce que je peux sur mon chemin. Ma tristesse s'est enfuie et je suis tranquille, même contente. Je crois que le film que j'ai vu l'après-midi m'a mis de bonne humeur et il s'agissait d' un film triste, je n'arrêtais pas de pleurer. Un bébé avait le cancer et à l'âge de huit ans il a survécu sa maladie. La fin de l'histoire est positive, mais il s'agit d'un drame et le couple des amoureux, les parents du bébé, ne tient pas. La vie fait ce qu'elle veut avec nous. Ce ne sont que de différentes épreuves à surmonter et je crois que je suis contente car je me rends compte que même dans le malheur, l'existence a toujours un côté positive. Donc, il nous faut tout simplement essayer de ne pas souffrir et de nous souvenir du beau pour échapper le malheur. Je crois qu'on appelle le mauvais et on rentre dans des chaînes de malheurs si on exagère les aspects négatifs de la vie. En plus, j'ai retrouvé une amie peintre, j'ai bavardé avec elle et je suis contente de faire une pause aux expositions constantes. Je rentre dans une étape plus mûre de ma vie et je ne veux pas répéter ce que j'ai déjà vécu. Je pense qui si on ne m'appelle pas pour exposer pour une raison importante, je n'ai plus le temps de le faire. Je veux peindre et écrire et tout partager tous les jours de ma vie avec l'aide de la téchnologie. Mais pour un projet d'exposition physique de peinture, seulement si on m'appelle où si l'opportunité vient me chercher. Je suis trop occupée avec mes activités de peinture et poésie quotidiennes et avec le livre de poésie que je travaille et avec mes classes. Je pense que cet été je dois organisé mes peintures et ma maison pour mieux faire face au reste de l'année. Je dois aussi organiser mon prochain semestre de classes à l'université. L'ordre me permettra d'être plus claire dans mon travail et de prendre soin de tout mon être pour le développer en paix. Quand un manque me gêne comme celui du couple, je concentre mon attention sur ce que m'est donné pour m'aider faire mon travail en paix et en amour. Cette façon de vivre me fait du bien, m'aide et m'aide aider les autres.

viernes, 14 de junio de 2013

Ton poème du jour

Ton poème d'aujourd'hui,
comment le veux-tu?
Peut-être comme ce gâteau
que tu aimes autant?
Ce petit poème veut danser
dans ta bouche.
Rêve nous à travers lui.
Nous arriverons ensemble
au pays des amoureux
dans la tendresse de ce que tu
aimes le plus de ce monde terrestre.

jueves, 13 de junio de 2013

Notre opéra

Notre poésie sera la plus belle du monde!, je le sais.
Je peindrai les couleurs de nos âmes,
les secrets de nos cœurs mélangés.
Nous sommes tellement ensemble
que je bats les rythmes de tes rêves en silence.
Demain je vais les chanter accompagnée
par notre musique, l'opéra de notre amour
deviendra l'extase de l'éternité.

Mes énergies s'équilibrent

Aujourd'hui j'ai eu ma classe au Centre culturel El Péndulo et elle a été très belle, j'étais surprise car elle n'allait pas très bien ces derniers temps et j'étais un peu déçue. Là, la classe reprend ses forces et je redeviens fière de continuer à la donner. Ma vie s'équilibre peu à peu et même si je travaille de trop, je commence à lâcher plus mes devoirs sur terre. Je veux dire que je les fais peu à peu, tout en essayant d'être très consciente de les faire avec soin et patience. Car trop souvent une force me domine et je me sens brûler dedans. Maintenant je commence à mieux regarder cette force, les yeux dans les yeux pour qu' elle s'apaise. Je reprends mon travail en calme et j'essaye de ne plus m'inquiéter de quoi que ce soit. Il me faut tout simplement mettre cette force dans ma peinture et poésie et attendre.  Je ne me fâche plus avec les personnes. Je laisse tout passer et par contre, en calme, j'essaye d'arriver aux meilleurs solutions dans mes relations. Je parle ce que je ressens mais j'attends les moments magiques pour tout dire. Mon fils grandit très bien et je suis fière de lui. Tout avance peu à peu. Il y a des petites choses ici et là. Par exemple, à cause de ma deuxième classe de peinture avec mon neveu de deux ans, j'ai mal au dos. Je l'ai pris dans mes bras pour un long moment et il a déjà deux ans! Je ne le ferai plus, j'ai appris ma leçon. Hier je me suis couché trop tard et aussi mon ventre n'est pas complètement guéri. Je dois faire attention à tout cela car c'est ma santé qui me réveille pour me faire consciente d'elle. Donc aujourd'hui je me suis concentré plus profondément dans mes méditations pour devenir plus consciente de mes équilibres. Une élève de ma classe de l'Alliance m'a donné son roman pour que je le révise et j'ai commencé à le faire aujourd'hui, c'est intéressant. J'ai eu la chance de lire, de peindre et d'écrire. Plus tard je travaillerai sur mes poèmes. Bref, mes jours sont pleins de travail, mais je suis contente car je sens que je suis sur mon chemin dans tous les sens et ceci me donne une paix que je n'avais pas ressenti auparavant. Je crois que mes équilibres s'améliorent et même si je suis trop vulnérable, un fond un peu moins éphémère commence à me soutenir. Mes énergies et ma vie sont fortes et j'apprends à les gérer peu à peu.

miércoles, 12 de junio de 2013

L'infini en nous

Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai.
Je t'écrirai tous les beaux poèmes
que tu poseras dans mon cœur,
petits cadeaux de notre infini.

martes, 11 de junio de 2013

À nous deux

Tu es en moi, mon poupon.
Dedans tu me parles et j'écris
tes baisers, tes mains sur mon corps,
les caresses de ton regard amoureux.
Et je peins ton âme sur la mienne
dans les couleurs de notre univers
secret, notre univers magique, à nous deux.

Mon intensité se verse en peinture et poésie

Aujourd'hui je suis allée faire mes activités quotidiennes et après je suis allée prendre un café avec mon ami et professeur Rodolfo qui m'a mise au courant de sa vie et moi je lui ai parlé de la mienne. Puis, j'avais un rendez-vous avec mon professeur Carlos López. Je me suis perdue pour y  arriver comme presque toujours et je sais que c'est ridicule, mais c'est ainsi. Ce que je n'aime absolument pas c'est arriver en retard. C'est quand même un miracle d'être arrivé. Je crois qu'un ange me guide car les embouteillages étaient affreux et je n'était pas aussi en retard que ça. J'étais tellement frappée par notre rencontre que je ne sais plus où la placer? Il paraît que mon chemin devient de plus en plus clair. Je dois tout simplement peindre et écrire tous les jours de ma vie et étudier beaucoup. Hélas!, parfois c'est tout à fait décevant car j'apprends des choses qui me frappent et me font du mal, je ne veux plus savoir. Mais je ne peux pas m'arrêter d' étudier et d'en savoir un petit peu plus à chaque pas. J'ai dû me dépêcher pour manger et courir vers ma toile pour tout peindre et écrire. Je comprends très peu de tout ce qui m'arrive et de l'existence, mais je brûle dedans, ça je le sais. Peindre et écrire sont les moyens qui m'aident à me soulager un tout petit peu. Le problème est que quand j'avance dans mes recherches, je me rends compte de l'immensité de l'existence et de ma vulnérabilité. Qu'est-ce que je fais? Rien et tout. Ma méthode, mes activités quotidiennes et écouter la voix qui me guide, celle de mon professeur, la mienne. Il est tellement en moi que c'est difficile de nous sèparer. Je ne questionne plus rien, je fais ce que je sais faire et j'attends les réponses de la vie. Bon, mes questions sur la littérature sont infinies, mais là, c'est une autre histoire. Et c'est ça ce qui arrive, un faire absolu sans rien questionner, un savoir dès le centre de mon être qui me pousse vers mon travail et par contre, du point de vue de la littérature, toutes les questions sont en moi, infinies, interminables, même parfois les mêmes questions posées d'une autre façon. Mon oncle qui est mon ami m'a dit un jour, peut-être que tu es venue sur terre tout simplement pour poser des questions et quand j'ai autant de questions comme aujourd'hui, je crois qu'il a raison. Cela brûle dedans, même maintenant que j'écris ces lignes. Or je sais qu'après quelques heures je vais m'apaiser, surtout en lisant un peu. Mes expériences sont fortes, mais je ne m'inquiète plus car tout s'apaisera et demain recommencera avec une intensité un peu plus équilibrée et ainsi de suite. Il me faut gérer mes forces et les donner aux autres à travers mon travail. C'est très simple, mais aussi trop compliqué. J'écoute un opéra tout à fait dramatique et cette même passion m'habite en ces moments. C'est  bizarre car l'art et la littérature parlent des gens comme moi et dans mon milieu je ne vois pas l'intensité qui m'habite dans les autres. Ils ont leurs passions, mais le degré est complètement différent. Je suivrai ma méthode en calme et tout sera bien pour moi et pour les autres car je les aiderai à travers ce que je fais, je le sais.

lunes, 10 de junio de 2013

Danser nos rêves

Mon âme sœur des lettres,
nos poèmes à peine apprennent
leurs premiers pas.
Tu les pousses d'une façon
exceptionnelle. Je suis heureuse
et fière d'eux même s'ils
parlent encore à moitié.
Demain, ils danseront
nos rêves partagés.

domingo, 9 de junio de 2013

Notre futur

Mon âme sœur des lettres 
notre poésie nous attend.
Mais est-ce qu'elle a besoin
de nos corps entrelacés? Est-ce que tu
connais la réponse à cette question?
Elle est très simple et pourtant
je n'arrive pas à voir notre futur
dans ce sens car mon cœur
t'aime tellement qu'il accepte
toutes les possibilités.

Pour mieux me comprendre et continuer ma tendance vers la simplicité

Aujourd'hui je suis au musée et j'ai un espace de temps pour lire et écrire. J'aime être ici et avoir la chance de travailler un peu. J'ai aimé les expositions que j'ai vues, mais pas toutes les peintures qui étaient exposées car quelques unes étaient très violentes. D'ailleurs, je ne pouvais pas comprendre qu'un père les regardait avec sa fille de dix ans sans se faire de soucis. Même moi, j'ai dû sortir très vite de la salle. Les peintures des expositions m'ont été trop violentes et je questionne ces formes compliquées. J'aime plus la simplicité des formes, mais je ne peux pas dire que mes dessins sont simples, d'ailleurs leur complexité me frappe. Ma peinture par contre a une tendance vers la simplicité et les couleurs intenses. On ne peut pas vraiment décider ce qui sort. Mais certainement on a une certaine influence dans les résultats des œuvres. Je cherche la simplicité des formes et couleurs en peinture et poésie, mais j'accepte et je laisse sortir d'autres parties de moi. Je les questionne et je les dirige, là oui. Et je les fais parler avec le reste de mes parties. Ce dialogue devient intense et je n'arrive plus à me comprendre sans toutes mes parties. C'est bizarre car je deviens tout ce que je fais. Je discutais l'autre jour avec une de mes élèves sur un aspect intéressant de cette réalité qui m'habite. Elle me questionnait et me disait que si quelqu'un tombe amoureux de moi, il ne peut plus me séparer de ma peinture et poésie car ce n'est pas un métier comme les autres. Il s'agit d'une façon d'être dans ce monde, de mon essence. Mais ll y a quand même une différence entre ma personne physique et ce que je fais. Aussi petite qu'elle puisse être, la différence existe. Alors parfois je me sens très bien si on m'aime à travers peinture et poésie et d'autres fois, cela me fait du mal, car je sens qu'on abandonne mon être physique comme s'il n'existait pas et on le laisse de côté. C'est peut-être un peu méchant car mon corps il est aussi ici et il se sens rejeté, incompris, abandonné. Ce n'est pas du tout évident de faire l'intégration parfaite de toutes mes parties. Certains jours je suis très contente de mon intégration et d'autres, pas du tout. Ce qui est mauvais c'est que je ne sais pas quelle est mon influence dans ce sens et si je peux agir d'une certaine façon pour aider mon intégration. Je vais m'étudier avec plus d'attention pour mieux me comprendre et arriver à mon intégration parfaite.

sábado, 8 de junio de 2013

C'est le bonheur!

Tes bras m'attendent, je le sais.
Tu vas me serrer très fort
et tu me diras que tu m'aimes.
Ce jour viendra et on continuera
notre travail sur terre en corps
et en âme comme le bonheur
le veut pour nous deux.

Mon nombril me dira la réponse

Aujourd'hui ma journée a été très belle. Dès le matin j'étais de bonne humeur et les messages que j'ai reçu de mon ami Patrick m'ont fait sourire. Mon cœur devient content avec les mots de Patrick et je suis heureuse d'avoir une forte amitié avec lui. L'après-midi, j'ai partagé mes poèmes dans mon cercle de poésie et on a bavardé d'art et de poésie. Mon cœur se remplit d'amour et je m'élève. Mon fils est spécialement affectueux aujourd'hui et je deviens une mère aimée! Je ne sais pas pourquoi il change, mais je ne peux pas décrire ma tranquillité. Finalement, mon fils m'aime et nous sommes en paix. Il me détestait à cause de mon divorce et il m'a tellement battu et rejeté! Là maintenant, il devient tendre et doux. Une étape horrible de douleur se ferme et le bonheur revient vers moi. J'ai l'espoir de récupérer une sensation de vivre plus complète, pas toujours persécutée et triste. Hier j'étais tout à fait triste car j'ai toujours peur de revivre la violence que j'ai vécu et je sens ma vie est frêle. Rien n'est plus stable et solide. J'ai peur de montrer mes couleurs et d'être battue pour cette raison. J'aimerais tellement me cacher. En même temps, je dois transmettre le message de l'œuvre aux autres. Que c'est difficile de trouver les points d'équilibre entre dire et ne pas dire, entre s'exposer pour transmettre et se cacher pour ne pas être battue! Est-ce que je veux exposer? Présenter un livre? Donner une classe? Oui et non car on ne sait jamais les réactions et il me faut être forte et sourire comme si de rien n'était. Je m'éloigne de tous et après, je reviens avec de nouvelles forces et j'essaye à nouveau. Que c'est fatigant! J'essaye donc de travailler et de faire ce que mon cœur décide à chaque instant. Je ne pense plus les choses. Si je les pensais, je ne ferais rien. Les gens pensent que je ne fais rien ou que mon travail ne vaut rien car je dissimule et je le fais exprès. J'ai tellement peur de sortir! Ils vont me battre. Ils sont mes frères et mes sœurs, ils sont ceux qui m'aiment le plus et ils changent leurs masques très vite,  j'ai froid. La terre n'est pas un endroit de paix. La violence se trouve dans tous ses recoins, même avec les plus proches. Je dois me taire. Je dois travailler et continuer. Quand je reçois de beaux cadeaux comme aujourd'hui, je pleure de bonheur en silence. Après tout, mon fils grandit comme il doit et il est en paix avec sa mère! C'est le bonheur! La vie me sourit aujourd'hui et je crois que peut-être je suis prête pour un amour de couple. Si mon fils est bien, je peux voler plus loin. C'est comme ça les mères, je dois veiller ses pas sur terre pour qu'il soit libre et heureux. Après, je pourrai moi aussi m'envoler, pas avant. Peut-être que ce jour est aujourd'hui? Mon nombril me dira la réponse comme quand j'ai décidé de divorcer.

viernes, 7 de junio de 2013

Sans pleurer

Ce poème, ton poème d'aujourd'hui
est un peu triste mon poupon car
mon existence sans ta main dans
la mienne n'a plus de sens.
J'étais si heureuse de t'avoir retrouvé
et trop vite la vie nous a séparé.
Peut-être qu'un jour je comprendrai
les vides que tu me laisses
et je serai prête pour faire face
à mes déchirures sans pleurer.
Peut-être qu'un jour je serai absolument
tranquille avec notre relation spirituelle
qui laisse nos corps dehors et me
montre un côté différent de la vie.
Pas aujourd'hui. Je ne suis pas encore
assez forte. Peut-être demain.


jueves, 6 de junio de 2013

Le langage inconscient

Aujourd'hui c'était mon dernier jour de ce semestre comme professeure de dessin et peinture à l'université. Je suis tout à fait heureuse de pouvoir être plus tranquille et étudier cet été. Aussi, je suis contente car j'ai aimé l'expérience. J'ai eu la chance de voir mes élèves avancer dans leur savoir de dessin et peinture. Ils sont si jeunes! La vie les poussera vers de différents sentiers et maintenant ils auront une petite lumière de plus pour faire face à leur destin. Je me sens très bien d'avoir ajouter cette lumière à leur équipage. Je suis soulagée de savoir que j'ai fait mon travail comme l'université le voulait car normalement, c'est difficile pour moi de joindre les intérêts des institutions. Me savoir capable de ceci me donne une sécurité qui m'aide à trouver mes propres chemins avec plus de force. À partir de mon divorce, la vie m'est vraiment difficile à vivre car c'est comme si j'avais commi la pire des fautes. Maintenant, je n'ose plus montrer mes couleurs avec autant de force car on me bat pour tout. La société est bizarre. Aucun homme ne me protège et je n'ai plus le droit de rien, bon, seulement de me taire. Donc, je travaille vraiment en cachette. Et si j'ose dire à voix haute quoi que ce soit, on me coupe les ailes. Je suis devenue en un instant une femme de rien car je n'ai pas de mari pour me défendre et pour qu'on me laisse être. Tout ce que je fais n'est utile pour la société matérialiste que nous vivons. Je n'ai plus du tout la force de me battre, principalement dans ma famille où tous deviennent très jaloux de moi et ils ont du mal à m'accepter. Je ne partage plus mes histoires avec eux. Ce n'est plus la peine. Avant, j'avais le droit de briller car mon mari m'appuyait puisque j'étais sa femme. Même s'il ne m'acceptait pas dedans, dehors il m'appuyait. Maintenant, plus personne de ma famille ne m'appuit ni dedans ni dehors. Ceci est fort pour moi. Ils m'aiment et me protègent, mais pour mon expression individuelle, c'est tout à fait clair, pas de soutient profond, peut-être même des obstacles ici et là. Mais, est-ce différent ailleurs? Pas du tout. Sans l'amour et la protection de ma famille, je ne peux pas survivre. Du moins, pas encore, et je sais qu'à la fin c'est parfait! Je travaillerai en silence et la fête se tiendra en paix. Maintenant que je comprends un peu plus de la réalité de la vie et que la majorité de mes chemins antérieurs se ferment pour mon développement, je prends le côté silencieux de l'existence et je fais ce que je peux pour partager mon travail avec une conscience des forces contraires de mon destin, du langage inconscient de ma vie.

Notre sentier doré

Comment vas-tu mon amour?
Je voulais tout simplement
te dire que je t'aime.
Tes yeux sont le regard qui m'équilibre.
Mon âme se cherche dans
leur fenêtre, chemin de mes réponses,
mystère de mes questions.
Je te connais dans un sens qui
nous échappe, demain dès l'aube
je peindrai tes formes mystiques
sur le sentier doré de nos rêves partagés.

miércoles, 5 de junio de 2013

Raconte!

Et alors, qu'est-ce qui suit
maintenant? On s'aimera
à travers les lettres dans
la beauté de nos chemins
entrelacés? Et nos corps?
Est-ce qu'ils resteront à l'écart?
Peut-être que ce qui est vraiment
important c'est que nos têtes
se baisent d'une façon intense
et prolongée. Je ne sais pas.
Est-ce que tu peux voir la
suite de notre belle, unique
et magique histoire? Raconte!

Mon travail pour l'été

Aujourd'hui je suis allée donner ma classe à l'Alliance française et j'ai aimé partager la poésie avec mes élèves. Je crois qu'on avance sur les sujets qu'on développe en classe. Après, comme ma mère n'est pas là, j'ai invité à toute la famille chez moi. Nous étions tous très contents et mon neveu de deux ans a voulu peindre avec moi. Je suis heureuse de commencer à lui transmettre la peinture comme je le fais avec ses sœurs ça fait dix ans déjà. Mes classes qui commencèrent comme un jeu pour les enfants sont devenues un atelier très sérieux pour adultes et adolescents. Et aujourd'hui que ce savoir revient aux mains d'un petit je me vois à travers mon histoire et je suis heureuse de mon chemin sur terre. De même m'arrive avec mes lettres, je commence à transmettre ce que je sais à d'autres têtes pour réfléchir ensemble. Dans le cas de mes textes, mes poèmes, mes livres, mes dessins et mes peintures, la transmission est plus vieille. Mais elle mûrit tous les jours et se transforme. Or cette transformation met en valeur même ce qui est développé dès la première fois de ma vie. Ceci est ainsi car le passé ne peut se lire qu'à travers le regard du présent. Mais le poids du travail devient de plus en plus lourd. Ma responsabilité augmente le jour le jour. Mon ventre ressent ce poids car il est complètement bouleversé en ce moment. Je n'arrive pas à le calmer et je m'inquiète car je sais que je dois peut-être rentrer à nouveau dans un de mes régimes et je ne veux pas. J'en ai marre de ces régimes! Mais quand mon ventre ne veut pas s'apaiser, je n'ai pas le choix. C'est dommage... J'aimerais connaître une autre réponse pour mon ventre. Je ne sais pas, me rendre compte que je lui fais du mal avec mes nerfs et envoyer mes angoisses dans une autre planète pour qu'elles se transforment en lumière. Pourquoi envoyer mes problèmes au ventre? Je ne comprends pas la réaction de mon ventre mais je pense qu'il m'oblige à m'arrêter. Le poids de la responsabilité m'oblige à m'arrêter. Je suis heureuse, l'été arrive dans un moment idéal pour digérer le savoir qui m'est donné à travers tout ce que je fais. Alors, je dois prendre des décisions cet été et réduire un peu mon niveau d'activité pour pouvoir gérer ce savoir et le transmettre. Heureusement, j'ai le temps pour ordonner ma tête, mes énergies, ma maison et ainsi de suite. Mon fils part dans un camp d'été et je pourrai tout arranger. De l'autre côté, j'ai un peu peur de réduire mon niveau d'activité car du moment, cela déprime et il me faut une force spirituelle impressionnante pour faire ce travail. Les vides sont toujours difficiles à gérer. Ainsi, même si j'ai besoin de tout arrêter et tout repenser, j'ai un peu peur de mes transitions. Je dois organiser mes temps et mon travail en calme. Je sais que revenir sur mes régimes c'est une façon de concentrer mon énergie. Je rends mon processus plus efficient à travers un régime et je reviens vers mon centre. Je commencerai donc mon fort travail spirituel dès demain et je ferai de mes jours de l'été des moments de lecture et de réflexion plus décidée, mais aussi, de la réalisation plus profonde de mes activités quotidiennes.

martes, 4 de junio de 2013

Les clefs du savoir

C'est beau de s'aimer
ainsi mon poupon.
Nous porrons alors  survivre cette
planète et aider les autres avec
la poésie que nous  écrirons ensemble..
C'est simple, c'est magique!
Les clefs du savoirs nous attendent
dans nos cœurs entrelacés.

lunes, 3 de junio de 2013

Notre univers sera heureux

J'aimerais devenir  complètement folle
pour toi à nouveau et ne penser
qu'à toi sans repos.
J'aimerais recevoir tes petits
beaux messages et tes chansons tous
les jours, comme avant.
Tu m'inspirais tellement!
Maintenant, je lis tes poèmes
et ceux de Borges que tu aimes autant.
Hélas!,  mon cœur abandonné
te veux en magie spirituelle
et dans ce niveau terrestre.
Le pauvre ne trouve pas d'amour
comme le tiens sur terre.
Viens donc l'aimer
pour que l'univers soit
tout à fait heureux.

Avancer sur ma liberté

Aujourd'hui j'ai décidé d'écrire avant de peindre car tout le matin je voulais le faire et je n'arrivais pas à le faire. Parfois j'ai du mal à travailler dans les cafés. Ma vie est une fuite. Je dois travailler en silence car si je dis ce que je fais, principalement ma famille ne me laisse pas le faire. Je dois me battre tout le temps et je suis fatiguée. Je fuis de chez moi parce qu'on m'embête tout le temps avec des besoins de la maison et on ne me laisse point travailler. L'après-midi c'est mon fils qui prend la maison toute pour lui. Sa musique et sa télévision me torturent. La nuit j'ai un peu plus de paix et c'est là que je travaille ma poésie. En plus, il y a les plaintes de tout le monde et les messages inconscients qui veulent me dominer. Ma fuite est vraiment une façon de vivre et je travaille où je peux. Chez moi c'est presque impossible de travailler. Mais je me fatigue déjà d'avoir à faire mon travail ainsi. J'aimerais rester chez moi pendant des heures et travailler en paix, c'est impossible. C'est vrai que j'aime mes cafés quand ils sont silencieux, mais je n'aime pas cette fuite. Je dois aussi donner des classes quand je devrais tout simplement, peindre, lire et écrire, faire mon sport et mes méditations. N'avoir point à me déplacer autant ni à être autant de temps avec la famille et les amis. Hélas! tout est une partie de ma vie et je dois tout accomplir. Je sais que ce n'est pas l'idéal, cette fuite permanente, ce faire et faire et se fatiguer autant. Mais je sais très bien qu'on construit le futur à chaque instant et je dois décider ce que je veux construire pour moi. Je ne veux plus de cette fuite qui commence par être obligée à inventer des histoires pour justifier mes lectures et mes intérêts. Je dois me cacher et m'inventer des travaux que les autres acceptent pour qu'ils me laissent tranquille. Et si je dis de plus, ça me coûte très cher. Ma thérapeute me dit que je finirais par m'enfuir un jour. J'espère que cela ne soit pas nécessaire car je veux être auprès de mon fils et des miens. J'espère qu'ils finiront par comprendre et accepter mes devoirs sur terre. Chaque instant de ma vie est une lutte et je me bats pour que mon fils soit heureux et tranquille et qu'il apprenne à survivre dans cette famille. Les messages inconscients sont extrêmes. En même temps, ma famille est des meilleures familles sur la planète et c'est beau de partager la vie avec tous ses êtres. Mais trouver mes équilibres n'est pas évident car je ne sais pas si à la fin, mes parents me laisseront libre. On ne sait jamais avec eux. Un jour ils me donnent toute la liberté et les milieux pour faire mon travail, le jour suivant ils m'enlèvent tout. Et moi je me construis comme je peux pour arriver un jour à une indépendance et être auprès d'eux en liberté. Mais peut-être que ce type de liberté n'existe pas pour moi sur cette terre. Je trouve que mon équation de vie est compliquée. On verra comment se dérouleront les événements de mon existence et certainement, j'espère avancer sur ma liberté à chaque instant.

domingo, 2 de junio de 2013

Tes yeux dans mes yeux

Mon beau, tu me manques.
La vie m'est trop dure
à vivre loin de toi.
Je dois être auprès de ton énergie.
Mon corps devient faible
et mon âme n'est qu'une
larme triste loin de toi.
Nos cœurs sont toujours
ensemble et nos corps?,
Le mien n'y tient plus.
J'ai besoin de tes yeux
dans mes yeux, c'est
tout ce qu'il me faut
pour pouvoir survivre
cette planète.

sábado, 1 de junio de 2013

Un sentier de silences

Mon âme sœur des lettres,
mon cœur t'appelle.
Il est seul et triste sans toi.
Son alphabet joue avec les mots
pour trouver la clef de tes rêves.
Un sentier de silences décrit
les baisers que tu me donnera un jour,
je les chercherai dans tes yeux.