Grace Nehmad

sábado, 7 de noviembre de 2015

Dualités terrestres



Aujourd'hui je suis allée au club et j'ai vu ma sœur là. Que j'aime la voir et rester quelques minutes de plus pour bavarder au jardin, c'est magique. Après, j'au dû aller à la banque. Le samedi. C'est dommage. En plus, je n'ai pas pu arranger mon problème et je dois retourner le lundi. Heureusement, j'ai eu le temps de peindre et écrire et chanter tranquillement. J'ai mangé chez moi et j'ai fait ma méditation de l'après-midi. Après, je suis allée voir un film avec ma cousine. C'était un film de fantômes, je ne vois jamais cette sorte de film, mais ma cousine choisit toujours les films qu'on regarde car elle sait lesquels sont recommandés. Hélas!, parfois ils sont trop violents comme celui-ci, mais toujours très bons. J'aime tous les films que je regarde avec ma cousine. Mais quand je suis au milieu du film, je me questionne si je dois voir la violence que je déteste, que le prix de voir un bon film est peut-être trop élevé. Maintenant j'écris et le jour sera bientôt finit, que le temps passe vite sur la terre! Le film parlait à la fin des attaches qu'on développe sur terre. Je crois que c'est pour ça qu'on est ici, pour résoudre les mauvais attaches et les contes qui sont restées ouvertes des vies antérieures. Je dois ainsi faire la paix avec toutes mes histoires et les vivre en au calme, les fermer. Je travaille avec intensité dans ce sens. Récemment, à l'université où travaille ma mère, les démographes de la communauté sont venus pour parler d'un étude très important. Ma mère voulait que je soit la démographe la plus importante de la communauté, moi je suis devenue une peintre et poète très spirituelle. Donc, avec cet événement, j'ai dû faire la paix avec mon passé comme démographe. C'est fort pour moi car j'aime la démographie et je voulait faire plaisir à ma mère, mais j'ai dû suivre mon chemin spirituel. Mon chemin est plutôt silencieux et je m'éloigne de plus en plus du bruit pour rentrer en moi, en mes études et mes méditations. Je développe l'œuvre tous les jours et mes prières, je ne peux pas faire autrement. Ma famille et amis sont avec moi, surtout mes guides et mes professeurs, mais la sensation de solitude est intense et mes états d'âme sont extrêmes. C'est vraiment difficile à gérer. Certains soucis m'inquiètent horriblement. J'essaye de les transformer et me détacher de toute inquiétude pour développer l'œuvre en paix et envoyer chaque fois avec plus de force mes beaux désirs pour les autres et pour toute l'humanité. C'est celui-ci mon travail sur terre. Est-ce que les autres doivent le savoir? Non, je ne crois pas. Je les aide et je leur dis de belles choses, je leur envoie en silence la magie divine que je porte. Je m'éloigne de plus en plus de leur envies. J'apprends à ne pas parler des choses qui les inquiètent le plus et ils n'arrivent pas à ne pas me détester pour mon chemin et ses beautés. Ils sentent qu'ils ne sont pas assez de ceci et de cela et qu'ils aimeraient avoir ce que j'ai. Je ne comprends pas du tout ces sentiments, pour quoi faire ils aimeraient le mien?, si ce n'est pas ce qu'ils sont venus faire sur terre et ils ont leur propre bonheur ici et là, comme tout le monde. La terre n'a pas de solutions éternelles. Elle a des moments d'élévation, c'est tout. Moi je crois que chacun dois trouver ses missions et les accomplir en beauté. Les missions des autres sont des autres et si on les fait, on retarde nos processus d'élévation sur terre. Nous aider les uns les autres, là oui, mais que c'est dur pour moi de me communiquer avec eux! Ils sont trop matérialistes et veulent être applaudis et reconnus avant tout. Je les regarde comme une espèce différente d'humains. Mon humanité est différente et bon, à la fin, c'est la même chose pour tout le monde. Que des dualités sur terre!  

No hay comentarios:

Publicar un comentario