Grace Nehmad

jueves, 19 de febrero de 2015

Partager mon envie de vivre



Aujourd'hui j'étais heureuse le matin. J'ai dansé, j'ai fait mes exercices et j'ai lu. J'ai fait mon yoga et mes méditations et je suis allée peindre chez ma mère. Soudain, j'ai eu une horrible discussion avec ma mère et ça c'est très mal passé. Je ne veux plus rien discuter avec personne. À quoi bon? Il faut mieux profiter des beaux moments sur terre et continuer nos chemins tranquillement. Avant, je croyais que c'était très important de résoudre mes différences avec mes parents. Maintenant, je crois que ce n'est plus important car tout est dit. En réalité, il n'y a plus rien à ajouter et si ma mère me fait du mal, c'est parce qu'elle ne se rend par compte. Heureusement, les commentaires négatifs de ma mère ne sont pas aussi terribles que ça, du moins pour le moment. Bon, ils sont très mauvais mais maintenant, je crois qu'ils sont supportables. J'espère, qu'ils vont demeurer ainsi. Après, j'ai eu ma classe de chant et je suis plus tranquille dès ce moment. Que le chant est merveilleux! Mon être s'équilibre à nouveau. Je suis allée manger en famille et tout était beau à nouveau. Que la vie est bizarre! Les moments s'envolent et il faut mieux d'être heureux et ne point discuter. Dans mon cas, maintenant je n'ai aucun aspect à arranger avec qui que ce soit. C'est plutôt essayer de partager de beaux moments ensemble. Pour le reste, je préfère de travailler mes états d'âme seule et m'équilibrer en silence. Donc, j'ai décidé de lui dire à ma mère qu'elle avait raison en tout et que j'étais désolée, que j'avais eu tort. Les relations ne sont pas du tout faciles et j'espère que j'arriverai à être en paix avec mes êtres aimés. Ce n'est point évident. C'est beaucoup moins compliqué pour moi de faire mon travail avec mon miroir intérieur. Parfois c'est aussi difficile que discuter avec les autres et peut-être le mieux c'est de faire mes recherches sans autant de discussions intérieures non plus. Laisser passer, recommandait Baruj Spinoza. J'ai aimé lire mon livre de Leonardo Da Vinci le matin. Il paraît que Leonardo aimait libérer les oiseaux de leurs cages. Il les achetait pour les libérer. Je trouve ça magique. J'aimerais qu'un Leonardo me libère de la mienne. Je crois que dans mon cas, je dois le faire toute seule. C'est pour ça que je n'ai même plus besoin de discuter quoi que ce soit, je n'ai plus besoin des autres dans ce sens. Je les veux pour partager la vie en amour, c'est tout! Nous avons tous nos défauts. Ça n'ajoute plus rien d'aider les autres en leur disons leurs défauts, pour quoi faire? Leur travail est individuel. En plus, ils se fâchent beaucoup. J'ai plus de défauts qu'eux et nous sommes tous cassés dans certains sens et magiques dans d'autres sens. C'est qui moi pour dire tu es comme ça, tu es normale ou tu ne l'es pas. Je vois qu'en réalité tout est bien et chacun doit s'équilibrer tout seul. Je pense que j'ai parlé de trop avec ma mère de moi et en réalité, je ne le fais plus. C'est peut-être ceci ce qui a détonné ma discussion. C'est dommage. Parfois je partage mon intérieur et les autres ne me comprennent plus rien et ils se fâchent avec moi. Quel désastre! Je veux tout simplement avancer ma vie en paix, faire ma mission sur terre et aider les autres en leur partageant mon envie de vivre et mon côté magique, c'est tout.   

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