Aujourd'hui je suis allée au club et j'ai fait toutes mes activités en paix. Mais aller au gym ne m'est pas du tout agréable, ça me pèse. Pour le moment je dois le faire et après cette année, quand j'espère que ma main et mon épaule seront tout à fait guéris, je verrai si c'est possible d'échapper cette partie de ma routine de sport que je n'aime pas. J'essaye quand même de m'inventer des jeux imaginaires pour aimer plus cette partie du travail physique que je dois accomplir. Je trouverai quelque chose j'espère. Cela me prend une demie heure trois fois par semaine, donc, ce n'est pas aussi grave que ça. Mais en ce moment c'est lourd et ça m'épuisse. Je n'ai jamais souffert avec aucun sport, je crois que le problème vient du mal que j'ai et donc, je souffre. Ça va mieux, donc, j'espère que bientôt ceci va changer. En même temps, je suis trop fatiguée dans plusieurs sens. Je fais trop de choses qui sont vraiment difficiles et je n'arrive pas à voir les résultats. Par exemple, avec l'hébreu pour que j'arrive là où je veux être ça me prendra des années et parfois je sens que je donne des tours et je n'avance guère. C'est peut-être parce que j'avance et donc, je veux dire plus et je ne peux pas. En plus, l'été je ne pourrai pas aller à un cours intensive d'hébreu que je voulais prendre car mon fils va partir pour un an et ne veut pas que je parte. Je vois plusieurs portes lourdes, fermées devant mon désespoir. Sur ce point du chemin, il n'y a plus personne avec qui pleurer. Des tas de choses très belles m'arrivent et il paraît que je veux de trop, mais ce n'est pas aussi simple que ça. C'est vrai qu'une partie de mes recherches repose sur l'hébreu mais elle vient d'une exigeance surtout de mon père. D'une certaine façon, je travaille pour lui et il me laisse développer ma peinture et poésie seulement si jedéveloppe l'hébreu et mes recherches en Bible. C'est comme ça et je dépend de lui. C'est l'accord qu'on a. Je dois remercier cet accord et j'aime l'hébreu et mes recherches en Bible, mais je les développerais autrement si j'avais le choix. Donc, je suis épuissée et mes notes à l'université doivent être parfaites. En plus, le sport lourd que je dois réaliser en ce moment me torture. Il paraît que la vie me fait payer des prix pour pouvoir développer les activités que j'aime et dans lesquelles je n'expérimente aucun poids pour les réaliser. Le travail est intense aussi mais il ne me fait pas pleurer, au contraire. Il se d'eveloppe aisément, comme une caresse qui vient aimer l'humanité. J'espère que je trouverai peu à peu des solutions pour rendre mon chemin plus tranquille. Je pense que la peur et la torture sont dans cette histoire. Des situations imposées et qui m'exigent des résultats immédiats. Je cours et je cours et j'essaye en même temps de penser que tout va s'apaiser peu à peu, que les solutions et les réponses seront de mon côté si je les médite avec plus de force.
No hay comentarios:
Publicar un comentario