Mes réponses magiques

Aujourd'hui je suis allée à ma classe de Bible et elle a été trés intéressante. J'aime résoudre mes racines arabes en étudiant le monde arabe-juif du moyen âge. J'aime étudier et savoir plus et nourrir ma peinture et poésie avec ces études. Hélas!, parfois ça devient trop compliqué et je suis trop fatiguée, je ne sais plus comment m'y prendre. Je deviens absolument triste car je n'arrive encore point à me combiner en paix. Je ne fais que survivre mes jours du mieux que je peux. Je cours de trop et je dois forcément sacrifier une classe ici ou là ou une personne que j'aimais voir ou une activité que j'aimais faire, pourquoi? Je ne veux plus de ça! Et pourtant, je ne vois plus les sorties. Une vie de courir et courir et rien ne s'apaise. Après, je vois les informations interminables sur chaque sujet de vie et je ne comprends pas car je ne suis pas sûre si ce travail éxagéré nous méne quelque part. Nous sommes des automates qui cheminent l'existence en suivant les structures devant nous et je ne comprends guère les équations impérantes. Un matérialisme exagéré, toutes les dimensions de l'existence s'exagèrent et nous ne sommes pas dans une meilleure existence ou plus en équilibre. Il parait que rien n'est suffisant et je trouve que quelqu'un doit arrêter tout cela, il s'agit d'un jeu étrange pour moi car je vois d'autres possibilités. Les chercheurs n'ont pas de vie sociale? Je vois la mienne disparaitre pas à pas. Je cède des espaces différents, mais je ne crois pas pouvoir céder plus que ce que j'ai déjá cédé. C'est pour ça que je commence à faire des combinaisons étranges, mais ça fait du mal car je sens que je ne suis nulle part et ça va tout se casser peu à peu. Il vaut mieux prendre des décisions réalistes en conscience. Je dois décider ce que je peux céder. Il s'agit peut-être d'avoir plus de force et prendre mes décisions pas à pas sans avoir peur. Je dois peut-être questionner profondément mon âme et savoir ce qu'elle veut de moi. Elle va me répondre dans ma prochaine méditation ou dans un rêve, je le sais.