Grace Nehmad

domingo, 6 de marzo de 2011

Nouveaux espaces

Aujourd´hui je suis allée visiter un musée que je ne connaissais pas et je l´ai beaucoup aimé! Il y a plein de musées à Mexico, mais j´y vais visiter presque les mêmes car ils ont les meilleurs expositions. Mais, dorénavant, mes parents et moi, nous avons décidé d´aller une fois par moi connaître de nouveaux espaces. Nous avons cherché le musée pendant deux heures avant de le retrouver...Mais une fois au musée Del Risco, on a oublié cet ennui et nous étions très contents de découvrir la beauté culturelle que nous offre notre pays. Après notre parcours, nous avons pris un petit café tout en écoutant de la musique typique mexicaine. Ainsi, nous avons partagé mes parents et moi un beau dimanche culturel pendant que mon fils était avec ses amis. Mon fils ne se laisse pas faire au sujet des musées et c´est dommage car mes parents et moi, nous les aimons. C´est ainsi, alors je dois m´échapper sans lui pour satisfaire mes rêves qui se nourrissent de la vie culturelle humaine. Ce n´est pas aussi grave que ça, avec mon fils, heureusement, je partage d´autres aspects de ma vie. Ce n´est pas une coïncidence que je sois peintre, mes parents m´ont nourri ce désir de peinture dès que j´étais petite, mais que leur fille devienne peintre leur pose de nombreux problèmes qui dépassent notre passion pour les musées. Ma vie de peintre et poète ne m´est pas facile à survivre dans mon milieu et avec mes parents. Une dualité effrayante peuple mon existence...nous sommes dans la gloire aux musées et après, chez nous, il me faut tout essayer pour qu´on me laisse peindre et écrire en paix! Pour qu´ils m´acceptent et me comprennent...Mais à la fois, ils m´aident d´une façon exemplaire. Alors, mes problèmes de dépendence-indépendence à mes quarante ans, ne sont pas encore complètement résolus, un jour, je suppose...Cependant, je travaille comme une folle et je cherche ici et là, des institutions qui puissent m´aider. Et quand je trouve une, j´ai envie qu´elle me donne toute la chaleur que mon âme en peine réclame. Je parle avec qui que ce soit pour dix minutes et je veux tout vomir. En réalité, je domine ces états débordants de mon âme et je réponds en deux mots aux brefs questions qu´on me pose. Mon âme veux crier: ´au secours´, elle veut dire: ´j´en ai marre de cette vie de dualités ridicules´. Peut-être le jour où je trouverai une solution à ces dualités se trouve au coin de la rue, je l´attends avec patience et plus souvent avec impatience tout en soulageant mon in conformité sur mes toiles et mes poèmes.

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