Grace Nehmad

martes, 20 de noviembre de 2012

Profiter de la vie et mûrir

Aujourd'hui j'ai donné mon recueil de poésie à mon professeur Rodolfo et nous avons fêter ensemble ce beau moment. On a bavarder d'une façon très spéciale comme dans toutes nos rencontres. Je déteste quand elles finissent. Ces jours-ci ça me fait absolument du mal quand une rencontre doit finir. Je ne suis plus forte du tout. Avant, j'étais jeune, je ne savais pas des modifications constantes de la vie. Mais bon, j'avance, je fais mes devoirs sur terre et j'accepte mes pertes. Je sais que tout est d'une certaine façon et pas d'une autre pour une raison, mais je n'arrive pas á comprendre mes pertes. Je veux développer mon quotidien et ne plus regarder ailleurs. J'en ai assez de perdre ceux que j'aime le plus! Et je ne les rends pas résponsables. Je sens que si c'est comme cela, il doit y avoir une explication que je n'arrive pas à saisir. Mais de toute façon rien ne peut fixer mes pertes. Un vide énorme s'est installé en moi et je pense qu'il fait une partie de mon processus normale d'indépendance, mais il n'est pas facile á gérer. Au même temps je suis absolument pleine que cela est bizarre! Je me remplis de mes activités de ceux qui sont avec moi, du soleil et de la lune. J'aime chaque instant de la vie sur terre, alors quelle est cette manque insurmontable qui m' habite? C'est peut-être le savoir de la vie qui change á chaque instant et se transforme comme elle le veut? L'incertitude de lêtre? C'est pour cela qu'il nous faut travailler dedans, la musique classique m'aide dans ce processus et mes méditations, mais aussi, profiter de chaque instant de la vie car demain tout changera.

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