Je suis fâchée...
La terre m'a jetée de son centre,
chaleur brûlante.
Au premier soupir, tout en pleurant,
j'ai aimé le vent froid
qui embrassait mes épaules.
Mais, très vite, j'ai compris
que le temps n'avançait plus;
ennui éternel qui emprisonne mon esprit.
Je ne peux rien faire,
seulement attendre
le jour de mon départ.
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